Dans une ville avec une population de passage, comme San Francisco, il est rare de rencontrer quelqu’un qui a vécu ici depuis sa naissance. Peuplé par des étrangers de passage, le pourcentage de propriétaires est nettement inférieur à la moyenne nationale.
Pourtant, malgré une capacité à identifier ces tendances, des villes comme San Francisco (ou Londres) demeurent instables et insaisissable, sous réserve de physique ainsi que des changements idéologiques et des disparitions-si soudaine et violente comme un tremblement de terre ou progressive comme la disparition d’une mémoire.
L’exposition de la ville des disparitions dramatise cette ressemblance commune des villes du monde en empruntant le titre de psycho-géographique « anthologie de l’absence » de Iain Sinclair écrit par et sur Londres. L’exposition imagine une transposition et l’échange de la vie imaginaire de Londres évoquée dans le livre de Sinclair avec les fictions et les mythes de San Francisco. Cet échange conceptuel et métaphorique sera suivie d’un vrai que l’exposition se rend à Londres en 2014, où il sera renommé Infini ville après l’atlas de Rebecca SolNit de San Francisco.
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